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Les 2 et 3 Février 2018 a eu lieu à Tunis un colloque international sous le thème LAWYER 2050. Organisé par l’Association Tunisienne des Jeunes Avocats, avec le soutien de l’Association Européenne des Jeunes Avocats, il avait pour objet de se projeter dans le futur, dans le quotidien de l’avocat de demain. Que doit faire l’avocat face à l’avènement des nouvelles technologies? Quelles sont les matières juridiques qui vont se développer ou verront le jour? L’avocat sera-t-il remplacé par les nouvelles technologies? Faut-il inventer un droit de la responsabilité pour les robots?

Autant de questions auxquelles les différentes interventions ont répondu. Tour à tour, de jeunes avocats tunisiens, des professeurs britanniques et un ancien Ministre tunisien des Technologies de la Communication ont développé leur présentation et ont fait preuve d’une grande expertise dans leur domaine respectif. Qu’elles aient été faites en anglais, en arabe ou en français chaque intervention a permis aux jeunes et futurs avocats présents dans la salle de se faire une idée de la profession qu’ils exerceront dans 10, 20 ou 30 ans.

Il en est sorti que, quoi qu’il arrive, l’avocat de demain n’exercera pas comme celui d’hier et d’aujourd’hui. Il va falloir s’adapter aux nouvelles technologies, apprendre à les maîtriser, s’intéresser à de nouveaux domaines juridiques… Que de défis passionnants !

La CIB ne peut que féliciter l’ATJA pour son audace dans le choix du thème et dans le traitement qui en a été fait.

Ce colloque a également été l’occasion pour la CIB de rencontrer de nombreux jeunes avocats issus de barreaux belges, québécois ou suisse et d’échanger sur les expériences personnelles de l’exercice de la profession.

Enfin, ce n’est pas la première fois que la CIB se rend à Tunis mais ses représentants sont à chaque fois émerveillés par le sens de l’accueil des tunisiens : bravo, et merci !

CIB Avocats

La CIB a pour objet de créer une structure de coopération entre les Barreaux de pays de tradition juridique commune, c’est-à-dire essentiellement les Barreaux francophones.

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